Une « recette » anti-fatigue saine et naturelle 😀

Alimentation | Fatigue

La face cachée du soja

Last updated Feb 16, 2023

Le soja est sur le podium des alternatives aux protéines animales depuis plus de trente ans. Mais le soja contient des toxines ! Découvrons ensemble l’histoire du soja, ses effets toxiques et comment le consommer pour qu’il soit bénéfique pour votre corps et votre santé.

 

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Le soja contient des toxines

Notre recherche obsessionnelle de la protéine et la montée du végétarisme et du végétalisme ont sans doute placé le soja sur le podium des alternatives aux protéines animales depuis plus de trente ans.

Et cette gloire au soja est maintenue par le marketing puissant de l’industrie du soja qui en vante les vertus sans relâche.

Le soja est présenté comme la meilleure alternative aux protéines animales et le parfait apport en oestrogène pour les femmes ménopausées (le soja est un phytooestrogène : composé non stéroïdien présent dans plusieurs végétaux et partageant des structures similaires avec les oestrogènes).

Cette même industrie ne dépense pas 1 euro pour vous informer de la présence de toxines naturelles contenues dans les produits de soja transformés de façon non ancestrales pas l’industrie agro-alimentaire.

L’industrie ne produit pas ou quasi pas de produits à base de soja en suivant la méthode ancestrale de fermentation nécessaire à l’élimination de ces toxines !

En effet, le soja contient :

  • des inhibiteurs d’enzymes (trypsine, tyrosine-kinase, thyroïde-peroxydase, aromatase),
  • des inhibiteurs de minéraux (acides phytiques),
  • un haut taux de manganèse,
  • les fameux isoflavones (un phytooestrogène),
  • au moins 30 protéines allergènes, ce qui en fait un des allergène les plus puissants,
  • de l’acide glutamique (ou MSG : glutamate monosodique), un neurotoxique puissant, qui se forme pendant la transformation industrielle du soja. L’industrie en rajoute encore après afin de masquer le goût peu agréable du soja, le glutamate étant un exhausteur de goût.
  • un haut taux en aluminium, un autre neurotoxique puissant en lien avec la maladie d’Alzheimer par exemple.

Ces molécules, certes naturelles, sont néanmoins toxiques pour le corps.


Par ailleurs, il a été prouvé scientifiquement que le soja est en lien avec :

  • la maladie auto-immune de la thyroïde : Hashimoto,
  • l’infertilité,
  • le cancer du sein et de la thyroïde,
  • l’hypothyroïdie,
  • et endommage l’ADN et les chromosomes.

Le soja agit comme une drogue et non comme un aliment. 😱 Il a aussi un impact sur votre agilité mentale et il perturbe le métabolisme et le système nerveux central.

Que votre soja soit bio ou non, non OGM (80% de la production mondiale est modifiée génétiquement) ou non, il contient les mêmes toxines naturelles. Mais si le soja n’est pas cultivé biologiquement, il contient en plus des résidus de pesticides ‘ex. résidus de glyphosate) et d’engrais artificiels, ce qui ajoute encore à son caractère toxique.

Ne parlons même pas de la problématique écologique autour du soja ! Vous trouverez au bas de cet article un lien vers une infographie très intéressante de la WWF si le sujet vous passionne.

Le problème écologique du sojaExtrait de l’infographie de la WWF

Pour info, sachez que l’industrie du soja est une des industries les plus riches et puissantes au monde.

A l’origine de la consommation de soja

En Asie, l’utilisation du soja était tout d’abord agricole et non alimentaire : les racines de cette légumineuse fixent très bien l’azote dans le sol, comme la luzerne ou le trèfle chez nous.

Ce n’est qu’après la découverte par les chinois des techniques de lacto-fermentation (environs -10000 ans av JC) que le soja est devenu propre à la consommation et que furent créés le tempeh, le nato, le miso, le shoyu et le tamari (ou sauce de soja). Beaucoup plus tard, la technique caillée et lacto-fermentée du tofu fut mise au point.

L’usage de ses dérivés fermentés (tempeh, miso,…) s’étendit alors à d’autres peuples asiatiques, Japonais et Indonésiens entre autres.

👉 Le soja n’a jamais été un aliment de remplacement des protéines animales, ni un aliment de base dans ces traditions culinaires.

Le tofu, aujourd’hui encore, compose 90% de la consommation de soja en Asie. Un Japonais consomme en moyenne 200 gr de poisson et 50 gr de soja par jour. Le Chinois est encore plus modéré en soja : environ 10 gr par jour, sa source de protéines étant principalement le porc. C’est donc une consommation très basse de soja et surtout le soja est fermenté.

Les asiatiques ne consomment pas les nouvelles formes de soja que sont les inventions modernes de l’industrie agro-alimentaire : lait, yaourt, crème, tofu non lacto-fermenté (et oui faites attention dans vos magasins bio certains tofu ne sont pas lacto-fermentés) mais aussi les isolats de protéines de soja (présents dans les burgers végétariens, saucisses de soja, croquettes de soja) ou les protéines végétales de soja texturé.

Le tofu, dérivé du sojaLe tofu ou fromage de soja est issu du caillage du lait de soja

Et dans les pays asiatiques le soja n’est pas utilisé comme un aliment convenant pour les bébés et jeunes enfants.

Les enfants nourrit uniquement au lait de soja ont 13000 à 22000x plus d’œstrogènes que les enfants nourrit au lait maternisé, soit l’équivalent de 5 pilules contraceptives/jour ! 😱

L’argument principal des publicitaires, faisant l’éloge de l’usage traditionnel du soja en Asie est plus que trompeur !

Le soja aux Etats-Unis : des débouchés rentables

Le soja a été très largement cultivé aux USA après la deuxième guerre mondiale, pour son huile et comme fourrage animal.
Aujourd’hui les plus gros producteurs de soja dans le monde sont les Etats-Unis, et le Brésil.
En France a commencé sa production dans les années 80 et sa production à quadruplé en 20 ans, particulièrement ces 5 dernières années car nous en consommons de plus en plus.

Depuis une trentaine d’années les producteurs ont cherché activement des débouchés rentables pour les sous-produits générés par la fabrication de l’huile.

C’est ainsi que la lécithine de soja (ou E322) a été lancée sur le marché diététique pour sa teneur en phosphore et en acides gras polyinsaturés. Et que les isolats de protéines de soja ont été proposés aux végétariens comme une excellente alternative végétales aux protéines animales.

Et pour toucher un public encore plus large, soucieux de sa santé et de sa ligne, le soja est présenté comme un aliment maigre, sans cholestérol.

Ces isolats protéiques sont la base de toutes sortes de produits améliorés artificiellement pour en améliorer la consistance et le goût. C’est aussi à partir de ces isolats que sont fabriqués les laits de substitution pour bébés.

La consommation de ces sous-produits non fermentés dérivés du soja a donc explosé aux USA surtout parmi le public féminin et chez les jeunes enfants.

Et pour les raisons nommées ci-dessus, les retombées négatives de cette mode alimentaire n’ont pas tardé à se manifester.

Les scientifiques publient les effets néfastes de ces produits mais face au marketing puissant des publicitaire ils ne font pas le poids, les médias ne relaient pas les résultats de leurs recherches et l’info est quasi ignorée en Europe.

👉 Les observations cliniques et épidémiologiques, ainsi que les analyses toxicologiques, aboutissent au même constat : le soja est toxique et son usage peut entraîner des problèmes hormonaux, essentiellement thyroïdiens, sexuels et gynécologiques, et des troubles au niveau du système nerveux central.

A ce jour aucune des allégations sur les vertus du soja n’a pu être avérée par les scientifiques : ni la protection contre le cancer, ni la prévention de l’ostéoporose, ni la réduction de maladies cardiaques.

Les femmes et le soja

Les Asiatiques nous sont souvent montrés comme modèles de santé et de sérénité lors de la ménopause dans le but de… nous faire consommer du soja !

Dans bons nombres d’autres pays que le Japon ou la Chine les femmes ne connaissent pas ce que nous appelons en Occident les troubles de la periménopause et ménopause. Et cela sans manger de soja…

Les articles soulignant le faible taux de cancer du sein dans les pays asiatiques oublient de préciser que les Japonais souffrent plus fréquemment que nous d’autres formes de cancer, en particulier ceux de l’œsophage, de l’estomac, du foie et du pancréas. Ils ont aussi des taux élevés de cancers de la thyroïde.

N’oublions pas que la consommation de soja en Chine est de 10 grammes (environ 2 cuillers à café) par jour et par personne. Dans certaines régions du Japon ce chiffre s’élève jusqu’à 60 grammes.

Mais les Asiatiques consomment le soja en petite quantité, comme un condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.

Selon une enquête datant de 1930, les produits à base de soja représentaient moins de 1,5 % des calories de la ration d’un Chinois … et celles de porc 65%, ce qui permet de relativiser.

Il est donc préférable d’avoir recours aux plantes phytoestrogéniques ou à certains compléments alimentaires qui sont tout aussi efficaces que les isoflavones sans leurs effets secondaires que je détaille ci-après

Les effets toxiques des isoflavones présents dans le soja

Le facteur toxique numéro un du soja est la présence abondante d’isoflavones, un perturbateur endocrinien.
Le taux d’isoflavones dépend aussi des conditions climatiques dans lesquelles poussent le soja.

Ces phytoœstrogènes (molécules agissant comme les hormones féminines ; œstrogènes) sont recommandés contre les bouffées de chaleur de la ménopause et, plus récemment, pour la santé de la prostate.

Mais on ne parle jamais de leurs effets secondaires, qui sont en réalité loin d’être anodins. Ils sont particulièrement préoccupants chez les enfants et les jeunes femmes qui consomment régulièrement des isoflavones sous forme de lait ou de crème de soja, de tofu, de burgers végétaux, etc…

Ils perturbent la fonction endocrine et ralentit fortement la fonction thyroïdienne.

Un effet dépresseur sur la fonction thyroïdienne d’une femme adulte apparaît déjà à partir d’une dose quotidienne de 30 mg d’isoflavone (qu’on trouve dans seulement 30cl de lait de soja ou 100 gr de tofu environ).

Le ralentissement de la fonction thyroïdienne, ralentit aussi toutes les fonctions vitales du corps.

Chez le bébé une hypothyroïdie même légère peut avoir de graves conséquences sur son développement général et spécialement sur son développement cérébral.

Les isoflavones ont aussi un effet négatif direct au niveau du cerveau, du fait de leur compétition avec les œstrogènes naturels au niveau des récepteurs œstrogéniques des cellules cérébrales.

Ce fait associé à la dépression thyroïdienne explique sans doute que des études sur les personnes âgées ont montré un vieillissement cérébral précoce et un risque deux fois plus grand de maladie d’Alzheimer chez les consommateurs de tofu, lait et autres dérivés non fermentés du soja.

Chez les jeunes filles, les isoflavones présents dans le soja peuvent provoquer une puberté précoce, et chez les garçons un retard de développement.

Chez la femme des problèmes gynécologiques diverses, parfois graves, ont été observés.

Les effets du soja sur le pancréas et le foie

Il a été établi que le soja est ses dérivés non fermentés agissent comme un agresseur du pancréas.

Le soja passe par de multiples étapes de transformation et ajouts d’additifs pour en faire un produit sexy et savoureux. Ce produit ultra transformé contient aussi souvent des sucres cachés VOIR ARTICLE SUCRE CACHE) ce qui le rend aussi lourd pour le foie.

L’inhibiteur de trypsine présent dans le soja (la trypsine est une peptidase du suc pancréatique participant à la digestion des protéines) interfère avec la digestion des protéines et peut causer un trouble du pancréas.

Les effets physiologiques du soja

Ils sont notoires sur la population végétarienne.

Il y a bien sûr des exceptions, mais bien souvent les végétariens sont de grands consommateurs de soja, de céréales complètes et de légumineuses. Et si ces aliments ne sont pas préparés dans les règles de l’art, cela se fait rapidement sentir au niveau digestif.

En effet, ces 3 familles d’aliments contiennent naturellement des acides phytiques pou phytates. Comme nous l’avons mentionnés précédemment il est nécessaire d’en s’en débarrasser avant de consommer ces aliments, surtout en cas de consommation quotidienne.

Le soja doit être trempé, blanchi plusieurs fois et fermenté afin d’en débarrasser les phytates et isoflavones.

Les céréales complètes et les légumineuses doivent être trempées : versez dans un saladier la dose de céréales ou de légumineuses sèches et recouvrez généreusement d’eau. Pour les céréales, rajoutez quelques gouttes de citron. Laissez à température ambiante toute la nuit. Le lendemain rincez.

Sans ces 2 manipulations avant leur consommation, il n’est pas possible d’éliminer les acides phytiques ou phytates.

De plus, les végétariens consomment souvent beaucoup de crudités. Ces 2 facteurs combinés irritent et génèrent de l’inflammation dans le système digestif. Les ballonnements, gazs et renvois se multiplient et les odeurs deviennent nauséabondes ! Ce sont tous des indicateurs fiables d’un système digestif en vrac.


Depuis quelques années, les nutrithérapeutes les plus attentifs (les spécialistes de l’autisme en particulier mais aussi de la mucoviscidose, de l’épilepsie et des maladies auto-immunes) ont d’ailleurs observé que pratiquer un simple régime SG-SC (sans gluten et sans caséine) ne suffisait plus. Ils proscrivent depuis plusieurs années aussi le sans-soja (SG-SC-SS). Ces malades ayant souvent comme point commun un pancréas déficient ou épuisé, l’élimination du soja prend tout son sens !

Le soja contre l’ostéoporose et le cancer ?

Une autre allégation santé du soja serait son effet positif pour contrecarrer l’ostéoporose.

Cependant, avec sa haute teneur en acides physiques (inhibiteurs de minéraux) il aura plutôt comme effet de provoquer des déficiences en calcium et en vitamine D. Alors que ces 2 éléments contribuent grandement à la solidité osseuse.

En Asie, l’ostéoporose est prévenue par l’habitude ancestrale de consommer des produits de la mer, du lard et des abats (riches en vitamine D). Ainsi que des bouillons d’os maison (très riches en calcium et autres minéraux).

Pour illustrer à quel point la consommation de bouillon d’os maison peut vous être bénéfique, lisez l’article qui lui est consacré sur notre blog : Bouillon d’os maison (poule, bœuf, poisson) : les bienfaits sur la santé.

Si, par ailleurs, vous consommez du soja pour vous prémunir d’un cancer, sachez que les puissantes lignanes des graines de lin, dont TOUTES les études cliniques démontrent le bénéfice, seront tout aussi efficaces mais sans effets secondaires.

Regardons du côté du comté de Marin en Californie, qui regroupe la population la plus post-soixante-huitarde et végétarienne des Etats-Unis, grands consommateurs de soja, et compte le plus haut taux de cancers du sein de tout le pays.

👉 Si vous utilisez le tofu comme source de protéine, gardez à l’esprit que dans les pays traditionnellement consommateurs de cet aliment, le tofu est toujours servi dans un bouillon d’os animal (volaille, poisson, etc.). La haute teneur en minéraux du bouillon contrebalance l’effet de déminéralisation du tofu. Si vous êtes végétarien, faites donc une exception offrez à votre tolu et à votre corps les nombreux bienfaits des bouillons d’os.

Comment consommer le soja ? Et pour qui ?

Évidemment tout dépend du contexte : cela dépend de quel soja, de qui le mange, quand et en quelles quantités !

Pour les personnes dont le foie, le pancréas ou la thyroïde sont fatigués, le soja non fermenté est à proscrire car anti-physiologique.

Le soja traditionnel est merveilleux sous ses formes fermentées : miso (pour les soupes – voir la recette de notre soupe miso) ou tamari/shoyu fermenté trois ans (et pas 24h avec les techniques actuelles) et non pasteurisés (sinon cela annihilerait les bienfaits de la fermentation) ou encore le tofu lacto-fermentés non pasteurisé.

Bien sûr, les œufs et les produits laitiers de bonne qualité (bio et au lait cru) sont une source de protéines formidable.

Et dans le monde végétal les algues et les graines germées sont très intéressantes car riches en protéines et bien plus digestes qu’un riz-lentille.
Selon les sortes d’algues, elles contiennent 30 à 40g de protéines/100g, contre 15g de protéines pour 100g de tofu !

Alors, le soja, bon ou mauvais pour la santé ?

👉 Seul l’usage ancestral et « à l’asiatique » du soja peut être recommandé.

En Asie on consomme le soja fermenté comme condiment accompagnant un repas comportant du poisson ou de la viande, des légumes et du riz.

Le soja et ses dérivés non fermentés posent problème déjà à petites doses régulières, à fortiori quand les doses sont plus importantes et qu’elles constituent l’essentiel de l’apport protéique d’un végétarien par exemple.

Le lait de soja n’est pas un substitut au lait maternel. Un seul biberon quotidien de lait de soja expose le bébé à des risques portant sur son développement sexuel, thyroïdien et cérébral.

J’espère que cet article vous aidera à faire des choix éclairés et pertinents pour votre corps et votre santé. 🙏

Références / Pour aller plus loin :

Planète SOJA, Julie Lotz, éditions du Rocher
Soy Online Service, un collectif de citoyens qui entend informer le public sur leurs découvertes de la réalité du monde du soja : http://www.second-opinions.co.uk/soy-online-service/index-sos.htm
Fondation belge contre le cancer : https://www.cancer.be/le-cancer/risque-non-d-montr/alimentation-et-cancer/alimentation-et-pr-vention-du-cancer-mythes-et-r
Natura Sciences https://www.natura-sciences.com/comprendre/soja-perturbateur-endocrinien.html
La fondation Weston Price propose une campagne de protection contre le soja : https://www.westonaprice.org/soy/
Le site www.thewholesoystory.com présente le livre The Truth About Soy de Kaajla T. Daniel. Depuis la parution de son livre, cette nutritionniste et docteur en sciences se voit interdire l’entrée de congrès professionnels…
L’infographie de la WWF : https://hiddensoy.panda.org/fr/

C'est moi, Laurence Fischer ! Je suis nutrithérapeute spécialisée en nutrition holistique vitalité, massothérapeute, réflexologue et auteure du livre "Le Bouillon d'OR" dédié à la santé intestinale. 😊 Depuis 15 ans, j’accompagne les personnes désireuses de reprendre leur santé en main, de bien vieillir et d’équilibrer leur rapport à l’alimentation. Envie d'en savoir davantage sur moi ? Cliquez sur Laurence Fischer.

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